[Tribune] Que chacun veille sur l’arbre qu’il a planté – Par Birane Niass
SI VRAIMENT LE SÉNÉGAL VEUT ATTEINDRE SES OBJECTIFS SUR SON PSE VERT, ÇA DEVIENT UNE OBLIGATION POUR L’ÉTAT DÉVALUER CES DIFFÉRENTES CAMPAGNES DE REBOISEMENTS TRÈS COÛTEUSES,INITIÉES PAR TOUS LES RÉGIMES QUI SE SONT SUCCÉDÉS DEPUIS L’INDÉPENDANCE
Qui trompe qui?.
C’est l’état du Sénégal qui nous trompe ou bien c’est nous la population qui se trompons nous-même?. Combien d’arbres ont été reboisés par les différents ministres de l’environnement lors de la journée dédiée au reboisement?.
Combien de jeunes, d’adultes et femmes prennent annuellement part à cette activité de simulation de reboisement ?. Quelles sont les motivations qui les animent à participer à cette journée dédiée à l’environnement ?.
Qu’est ce que l’état du Sénégal recherche vraiment à travers ces campagnes de reboisement.? Est ce que ces genres de pratiques peuvent nous amener à la reforestation à fin d’arriver au PSE VERT.
Vous n’êtes pas sans savoir que le Sénégal a ratifié beaucoup de convention liée à la protection de l’environnement
.
De nombreux traités ayant trait à l’environnement;
Le concept de développement durable basé sur les principes suivants :
le développement économique, le développement social et la
protection de l’environnement;
• la Convention de l’ONU sur les changements climatiques en 1992 et
l’adhésion au protocole de Kyoto en 2005 ;
• la Convention sur la diversité biologique en 1994 ;
• la Convention relative à la Coopération en matière de protection et
de mise en valeur du milieu marin et des zones côtières de la région
de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (Abidjan 1981).
• la Protection de la couche d’ozone : le Protocole de Montréal de
1992 (ratifié en 1994) et son amendement en 2005.
L’heure de faire un bilan d’étape a sonné.
Birane Niass, Journaliste