ASC Saloum de Kaolack : les dirigeants fument le calumet de la paix
Après les divergences qui ont minées le terrain depuis plusieurs mois, l’heure est venu pour les dirigeants de l’ASC Saloum de Kaolack (National 1) de fumer le calumet de la paix. La décision est rendu public ce dimanche au terme d’une rencontre qui restera gravée dans les annales du football kaolackois.
« Il avait des divergences entre les différents responsables. Mais dans un même élan, dans la cohésion, dans l’unité, nous sommes retrouvés. C’est pour moi le lieu de saluer le courage et la grandeur des dirigeants en commençant par Mamadou Ndiaye Diack. On s’est parlé, on s’est retrouvé, et tous ceux qui sont derrière nous, les jeunes se sont retrouvés parce que c’était l’occasion aujourd’hui de sceller les retrouvailles, de montrer à l’image du monde, de l’opinion publique que tout ce qui pensait et ce qui croyait que le Saloum est est dispersé, s’est éclaté, que le Saloum est là, s’est retrouvé en une seule famille plus aujourd’hui plus que jamais », a déclaré Kosso Diané, président de la ligue de football de Kaolack.
Avant de poursuivre, « Nous avons eu des difficultés mais nous avons été capable de les résoudre. Je salue la clairvoyance du président Fallou Kébé et du président de la section football, Arona Diack pour également leur investissement, leur contribution personnelle dans la recherche de ses solutions ».
Kosso Diané terminera ses propos en remerciant, l’ancien président du club, Souleymane Ndéné Ndiaye, car dit-il, « C’est lui qui a parlé au président Fallou, au président Diack, aux jeunes qui étaient avec lui, qui leur a dit que c’est fini, il faut se retrouver, faire table rase de tout ce qui s’est passé et travailler avec Fallou et Arona pour le Saloum. Donc c’est lui l’artisan. Donc c’est à lui qu’il faut rendre hommage et prier pour que tout ce que nous voulons, tout ce que nous souhaitons pour ce club que le bon Dieu nous donne les moyens et nous aide à l’avoir pour le club », a conclu le président de la ligue de football de Kaolack.
