Kaolack

Kaolack : la Cojek déçue du comportement de Pape Mademba Bitèye

Pape Demba Bitèye Senelec
PAPE DEMBA BITEYE

La convention des jeunes pour l’émergence de Kaolack (COJEK) ne parle plus le même langage que la tête de liste départementale de la Coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) en l’occurrence, Pape Mademba Bitèye.

En effet, selon la voix du Saloum, ils ont été déçu du comportement du DG de la SENELEC qui n’a pas honoré ses engagements vis à vis des populations de Kaolack.

D’après Samba Diallo, président de la Cojek, « nous sommes déçu du comportement du DG de la SENELEC qui n’a pas honoré à ses engagements vis à vis des populations de Kaolack. La déception est grande car la jeunesse a misé sur lui et avait beaucoup d’espoir pour que Kaolack puisse être sur rampes de l’émergence », a t-il déclaré au cours d’une rencontre avec la presse locale.

Abondant dans le même sens que son prédécesseur, Omar Sow quand à lui a mis en garde les populations à faire un vote utile. « Nous alertons la population de Kaolack pour ce candidat Imposteur qui est pape Mademba Bitèye , nous savons tous qu’il ne va pas abandonner la Direction de la Senelec pour être député, donc c’est une fausse candidature. On doit savoir ce que nous voulons pour notre avenir. Nous lui demandons aussi d’honorer à ses engagements vis à vis de la jeunesse de Kaolack. Qu’il arrête les services aux copains et de se prononcer sur des problèmes qui sont une véritable gangrène pour son quartier et qu’il avait pris des décisions qu’il n’a pas du tout respecté : nous pouvons en citer le problème de l’eau à Kabatoki, l’achèvement de la maternité , les travaux de l’école élémentaire Numéro 1 et le terrain de football qu’il a transformé en dépotoir d’ordures, se désole M. Sow.

Poursuivant, il a ajouté que « nous savons tous qu’il a un poste politique, donc comment peut-on concevoir depuis qu’il est à la tête de la Senelec qu’il n’a pas recruté plus de 15 jeunes à Kaolack même pas 5 jeunes dans son quartier. Ce qui est déplorable c’est qu’il a recruté ses amis, des quarantenaires soit disant jeunes et quelques de ses militants ; qu’il arrête et inspire du sérieux. Désormais nous n’accepterons plus d’être traités de la sorte », a conclu Omar Sow.

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