Parution de son livre : le vibrant hommage de Cheikh Yerim Seck au prophète Mouhamed et à Baye Niass
Depuis l’annonce de sa sortie prochaine, le livre « Macky Sall face à l’histoire passage sous scanner d’un pouvoir africain » de notre excellent confrère Cheikh Yerim Seck n’en finissent plus de provoquer des réactions. Mais si pour le moment ce sont surtout les acteurs politiques, leaders, responsables ou encore militants qui commentent sur le livre, un fait a attiré notre attention. En effet dans le livre de 259 pages, le journaliste ancien de JeuneAfrique a rendu un vibrant hommage au prophète Mouhamed et à son guide spirituel Cheikh Ibrahima Niass.
En effet, après l’avoir dédié « au Prophète Mouhamadou Rassouloullah (Saws), le plus grand et le plus prestigieux personnage de l’Histoire universelle. Le
Meilleur minal azal ilal abad », Cheikh Yerim Seck a égratigné Charlie Hebdo. « Ceux qui vous caricaturent ne
peuvent pas vous connaître. Il n’y a pas votre équivalent dans leur
histoire, ni dans leur civilisation. Le père de toute personne qu’ils
vénèrent ne vous arrive pas à la cheville », a-t-il noté. Et d’ajouter : « Moi, l’humble papa de Mouhamadou Moustapha, de Mouhamadoul Bachir et de Mouhamadou Bamba, vous dit merci pour la libération que votre Message a apportée à l’humanité négro-africaine. »
Juste après le magnifique hommage au prophète, l’auteur à dédié son ouvrage à ses parents, Cheikh Oumar et Ndéye Fatou. Avant de rendre par la suite un vibrant hommage à Cheikh Ibrahima Niass dit Baye Niass.
« À Cheikhal Islam Cheikh Ibrahima Niasse, la preuve vivante que le Sénégalais peut aller à l’assaut du monde dans ce contexte
de mondialisation. Tayirou Bauchi, disciple d’un de vos disciples, compte au Nigeria un nombre de talibés équivalent au double de la population du Sénégal. Vous avez, dans le monde, 400 millions de disciples, un chiffre en croissance continue. Moi, le père de Sidi Souleymane et de. Babacar, vous remercie de m’avoir fait connaître Dieu », a encore écrit le journaliste.
Avant de faire autant pour sa famille et enfin à ses compatriotes. « À Fa, la maman des deux Mouhamed et du Sahaba. À Banna et Astou. À mes filles adorées, Ndéye Fatou et Dayena Jeannette. À tous ceux et à toutes celles pour qui le Sénégal a du sens. », dit-il encore.
Abdoulaye NDAO